May 21, 2025

Diabète et traitements alternatifs

La médecine conventionnelle a longtemps été la seule réponse face au diabète. Pourtant, de plus en plus de personnes cherchent aujourd’hui à compléter leur traitement par des approches alternatives. Parmi elles, la thérapie quantique suscite un intérêt croissant, notamment grâce à des dispositifs innovants comme iTeraCare.

Basée sur les principes de la physique quantique, cette méthode repose sur l’idée que chaque cellule émet une fréquence propre. Troubles du sommeil, déséquilibres digestifs ou encore douleurs chroniques : la thérapie quantique se positionne comme un soutien au bien-être global.

Dans le cas du diabète, une pathologie complexe et évolutive, cette approche peut s’intégrer à une prise en charge globale, en complément des traitements classiques. Alors que l’allopathie vise principalement à ralentir l’évolution de la maladie, la médecine quantique explore d’autres leviers : énergétiques, cellulaires, informationnels. Et si une meilleure gestion du diabète passait aussi par une harmonisation des fréquences corporelles ?

Qu’est-ce que la médecine quantique ?

La médecine quantique fait partie des médecines dites « alternatives et complémentaires » (MAC), selon la terminologie utilisée en France et à l’international. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) regroupe sous cette appellation un ensemble de pratiques de santé qui ne relèvent ni de la médecine conventionnelle, ni des traditions médicales du pays dans lequel elles sont pratiquées.

Parmi ces approches émergentes, la médecine quantique attire de plus en plus d’adeptes. Inspirée de la physique quantique, cette discipline repose sur une vision holistique de l’être humain, dans laquelle corps et esprit forment un tout indissociable. Elle considère que chaque cellule, chaque organe, émet une fréquence vibratoire, et que tout déséquilibre dans ces fréquences peut être à l’origine de troubles ou de maladies.

Plutôt que de traiter uniquement les symptômes, la médecine quantique vise à rétablir l’équilibre énergétique de l’organisme. Elle agit à un niveau dit « informationnel », en réharmonisant les flux d’énergie perturbés grâce à l’utilisation de champs électromagnétiques, d’ondes scalaires, ou de fréquences ultra-basses similaires à celles du cerveau. Des appareils spécifiques, fonctionnant souvent par résonance, permettent de capter ces signaux et d’analyser en profondeur le fonctionnement cellulaire, organique ou hormonal d’un individu.

La médecine quantique s’adresse à celles et ceux qui souhaitent explorer une autre manière de prendre soin de leur santé, en complément, jamais en substitution, d’un suivi médical conventionnel.

Les solutions de médecine alternative en cas de diabète

Face au diabète, notamment de type 2, certaines approches complémentaires peuvent accompagner le traitement médical conventionnel. Homéopathie, phytothérapie, acupuncture, médecine chinoise ou encore ostéopathie : tour d’horizon.

Diabète et homéopathie

Souvent utilisée en prévention ou dans les cas de diabète débutant, l’homéopathie peut aider à limiter la progression de la maladie. Les prescriptions varient selon le profil du patient :

Calcarea carbonica : en cas de surpoids, de sédentarité, ou d’attirance pour les aliments sucrés et lourds.
Sulfur (9CH) : 5 granules matin et soir pour les personnes ayant une mauvaise hygiène de vie (excès alimentaires, tabac, alcool).
Lycopodium (7CH) : 5 granules matin et soir si le diabète s’accompagne de troubles digestifs ou rénaux, et d’une appétence marquée pour les sucres.
Bryonia alba (9CH) : 5 granules matin et soir chez les patients ayant une soif importante, un appétit centré sur les protéines, et une aversion pour les légumes.
Hélonias : recommandé au tout début de la maladie.
Syzygium ou Glycerinium : pour les diabètes déjà installés.
Phosphorus : en cas d’appétit et de soif excessifs, et de fragilité vasculaire. Il peut aussi être utilisé en prévention des complications.

⚠️ Ces exemples sont donnés à titre indicatif et ne remplacent en aucun cas un avis médical. L’homéopathie est un traitement d’appoint, à intégrer à un plan thérapeutique global incluant diététique et médication allopathique.

Diabète et acupuncture

L’acupuncture, et en particulier l’électro-acupuncture, montre des effets prometteurs dans la gestion du diabète :

Diminution des taux de glucose sanguin,
Amélioration de la sensibilité à l’insuline,
Réduction de la résistance à l’insuline.

Des points comme ceux situés à l’arrière du genou, sur les pieds ou entre le pouce et l’index sont souvent ciblés pour stimuler les fonctions métaboliques. L’acupuncture ne remplace pas un traitement médical, mais elle peut améliorer l’équilibre glycémique en complément des médicaments.

Diabète et ostéopathie

L’ostéopathie, bien que moins fréquemment évoquée dans la gestion du diabète, peut jouer un rôle intéressant, notamment en travaillant sur l’axe intestin-cerveau impliqué dans la régulation de l’appétit et de la glycémie.

Cette approche cible les déséquilibres au niveau :

Du pancréas, de l’intestin, du foie et du système nerveux autonome,
De la sécrétion hormonale, notamment la GLP-1, hormone régulatrice de l’appétit et du métabolisme glucidique.

Des techniques manuelles douces peuvent améliorer la mobilité viscérale et les échanges nerveux et hormonaux. Elles doivent cependant être pratiquées par des professionnels formés à la prise en charge des troubles métaboliques.

Diabète et iTeraCare

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L’appareil de thérapique quantique iTeraCare, issu des recherches en médecine quantique, agit sur le corps par la diffusion de fréquences spécifiques qui visent à stimuler les fonctions cellulaires et énergétiques. Dans le cadre du diabète de type 2, cette approche pourrait favoriser une meilleure régulation du métabolisme, en soutenant notamment :

la circulation sanguine, essentielle pour limiter les complications vasculaires liées au diabète ;
la vitalité des organes digestifs et endocriniens (comme le pancréas ou le foie), impliqués dans la régulation de la glycémie ;
l’équilibre du système nerveux autonome, qui joue un rôle dans la communication entre l’intestin, le cerveau et les glandes endocrines.

Utilisé en complément des traitements médicaux, l’iTeraCare participe à une approche holistique, centrée sur le rééquilibrage global de l’organisme. Toutefois, son utilisation ne se substitue pas à un avis médical et doit être intégrée dans une stratégie thérapeutique cohérente et encadrée.

A retenir :